La fête terminée, les luttes continuent

20160911_170721Une belle édition sous le soleil, comme chaque année beaucoup de visiteurs et de camarades sont passés nous rencontrer sur le stand AAC, UFM, IHS métaux. Cette année est particulière à plusieurs titres, nous sommes attaqués de toutes parts sur notre patrimoine, vous avez, à ce sujet, reçu des informations concernant les problèmes rencontrés sur l’hôpital Pierre Rouquès (Les Bluets), il va nous falloir lutter pour conserver ce patrimoine et surtout continuer de répondre aux besoins sociaux de cette société qui tend à se déshumaniser.

Nous approchons du 80e anniversaire de la création de l’UFM et notre objectif n’a pas changé, il est identique à celui porté par nos pères, répondre aux besoins sociaux, aujourd’hui l’UFM travaille sur des projets de Résidences Services Séniors, une première réalisation est en cours de construction et sans perdre de temps nous allons lancer une deuxième résidence. Mais rien ne se fera sans vous, notre force réside dans notre capacité de regrouper les moyens humains et financiers dans des projets ambitieux, votre soutien et votre adhésion à ces objectifs sont indispensables.

 

 

 

 

Discours de Nicola Giglio, président de l’UFM.

Chèr(e)s ami(e)s et camarades,

 

Quelques petits mots rapides dans ce haut lieu de luttes, de rassemblements, de solidarité, de cultures et de fraternité.

Déjà à 16h00, l’Association Ambroise Croizat a pris une initiative pour défendre l’activité de l’hôpital Pierre Rouquès | Les Bluets,  qui est patrimoine de l’UFM depuis 1936.

Dans ce contexte, comment nous travaillons tous ensemble pour la défense de ce patrimoine, de son contenu et de ses valeurs.

Nos anciens, à la création de l’UFM, étaient déjà très visionnaires pour répondre aux besoins du moment. Aujourd’hui nous avons la responsabilité et la crédibilité d’être autant visionnaires sur la société d’aujourd’hui et de demain.

Être à la fête de l’Huma au Forum Social, dans un lieu de bouillonnements d’idées, de réflexions, de propositions pour changer cette société, nous impose le devoir de faire perdurer cette fête de l’Humanité.

Maintenant, je vous invite à lever le verre de l’amitié.